Je n'ai même plus envie de retenir mes mots, car ça dure trop déjà et j'en ai marre. Je me vois épuisé. Ces musiques, ce texte sont le dernier que je puisse mettre ici, je change de blog dorénavant. Et avant de te donner le lien prochain, j'ai beaucoup de choses à dire qui ne seront pas structurés ni construites, mais elles sont véridiques, puisque je les penses, libre à toi de les partagés ou pas. De comprendre pourquoi et comment.
Tu a perdu ma confiance, depuis décembre, et depuis, ça ne fait qu'empirer à vrai dire. Et là, je sature.
Tu l'a perdu quand tu nous a menti pour voir quelqu'un, je me fiche pourquoi. Tu nous a simplement menti, et le pire c'est que je le savais que tu mentais à ce moment là. J'avais rien dit, tu fais ta vie après tout, juste tu l'a perdu, et depuis j'essaye de te refaire confiance, et à chaque fois je n'y arrive pas, je me trouve déçue ou je pense encore trop au passé. Et tu disais toujours être honnête? Depuis j'évite de croire en ton honnêteté si sincère, naïvement.
Et s'il n'y avait que ça. Je ne fais aucun reproche dans ce que je dis, simplement je me vide. Je me vide les larmes aux yeux, car je me promet que ceci soit la dernière fois que je pleure pour ça, car j'en ai marre de souffrir pour rien.
Et là, je me rappelle au collège, quand toi tu été gentil. Bien sur, tu peux l'être, en présence d'inconnu, ou de personnes qui t'intéresse? C'est ça maintenant.? Un peu comme hier soir, tu n'étais pas toi même. Et c'est ce qui déçoit tout le monde. Surtout moi. Je ne te juge pas, ô jamais, mais.. Quand on a mal, on émet un jugement non..? On dit ce que l'on ressent, s'il fait mal, c'est que l'on l'a jugé mauvais. Alors, en un sens, je l'ai jugé, mal pour moi du moins. Car, tu t’ennuie avec nous, ou du moins, tu t'amuse quand il n'y a pas que nous. Et même si tu peux dire une centaine de fois que c'est faux, que c'est ce que tu montre, ça semble tellement sincère et je sais que ça l'es, alors pourquoi mentir.?
Je suis mieux ailleurs qu'avec vous. Pour du moins, avec ce que tu es maintenant, comment tu es devenu. j'aimais juste, quand tu étais toi même, que tu parlais, que tu te préoccupais plus de nous que l'attention que tu a envers les autres. Tu étais tout simplement, gentil, fascinant, peut être attachant. Tu étais le plus gentil avec nous. Alors oui, le temps passe. Mais je ne supporte pas ça. C'est pour cela que je ne restais guère longtemps avec quelqu'un ou en groupe. Car ça change toujours.
Regarde maintenant, regarde ce que l'on été au collège? Et je ne remue pas le couteau dans la plaie ou comparé tout ça avec le collège comme à chaque fois. Mais au plus le temps passe, plus je souhaite revenir à cette période là. J'en crèverais.
Et là, c'est toi qui me crève.
J'ai beau me mettre à part, hier soir, en regardant les étoiles et les ombres effrayantes.. J'ai pensé que je n'aurai jamais du venir au monde, ou vous rencontré, ou de ne pas vivre.
Et c'est ainsi, que j'ai pensé qu'au fond, ce n'était pas à moi encore d'avoir mal ou de retenir mes mots, ni même encore de pensé cela, que je n'aurai pas dû à voir la vie, de ne pas pouvoir observé ce ciel splendide qui me réchauffait presqu'au coeur, si seulement elles auraient pû..
Et maintenant, j'étale mes pensés.. Mais je t'ai dis ce que j'avais majoritairement sur le cœur. Sans doute, d'autres épines restent encore là, mais elles sont trop infimes pour que je puisse leur accorder plus d'importance qu'à ce que j'ai pu avouer. Malheureusement. Je voudrai parfois qu'on puisse lire ce que je pense ou voir ce que j'ai ou ce qui me fait mal. Même lorsque je ne parle pas j'ai mal. Ca ne veut pas dire que je ne ressens pas, ni douleur ni joie. Bien au contraire, simplement, même si je le disais, quel changement cela ferait il? Au nombre de fois que l'on a pu me dire que ce que j'avais ce n'était rien.
En parlant de ce que j'ai pu avoir, que tu ne m’aie pas même demandé ce que j'avais eu vendredi matin que j'étais énervé, encore. Alors, j'aurai beau essayer de répété "Chibi Naka", ou le dire pour essayer de le croire, mais tu a changé. Comme tous sans doute. Je ne te le reproche pas, c'est comme ça qu'est la vie non?
Mais je sais très bien que le nom que je t'avais donné ne revivra pas. Il est aussi mort que ce que je me sens à l’interieur; Vide, dégoulinante, épuisé.
Je ne retiens pas même mes larmes, elles se tiennent juste sur le bord, et lorsque je les cligneraient, je sais qu'elles couleront rapidement, aussi rapidement que ces années aient pu passé.
Emportant juste avec elles, la gentillesse, l'attention, la sincérité, la fascination.
Tu étais fascinant, lorsque tu parlais. Je croyais tellement en tes mots, ils me faisaient presque rêver en fait. Je te lisais et pendant les heures où l'on parlait j'avais l'impression d'avoir changé d'époques et de lieux. Juste, la musique qui tournait, pour la plupart du temps Kyo ou Pleymo ou encore C&C. Mais à cette époque, ça ne me faisait pas le même mal de les écoutés. Et je sais aussi que c'est juste leurs chansons qui pourraient me tué à les écoutés, et c'est pour ça que je n'écoute plus. Je ne veux pas m’effondrer encore. Avoir envie de crever en repensant encore au passé.
Mais, ces mots là me manquent. Que je croyais en tout ce que tu pouvais dire, j'avais le doute que tu sois toujours sincère, mais au fond, pas comme maintenant. Pas autant. Cela pourrait se comparer à un souffle que quelqu'un souffle entre ses lèvres et se comparé désormais à une tornade balayant tout sous elle.
J'ai voulu te dire de sortir tes mouchoirs, qu'il allait pleuvoir.. Mais, j'ai trouvé ça trop prétentieux, présomptueux ou arrogant, ça l'aurait été et ça peut peut être le paraitre, mais ce n'est pas le cas. S'était juste pour te préparer à ce que je voulais dire.
Et j'ai tellement mal, et je ne peux rien y faire. Je ne peux pas retrouver confiance en toi simplement avec des mots. Je peux pas, arrêter de souffrir pour ça. Malgré tout ce que je donnerai, je ne le peux pas. Et peut être aussi que je chipote pour rien, que tu trouve ça juste blessant et stupide, mais.. Quelque chose est il stupide lorsque nous le ressentons jusqu'aux os?
Alors, oui j'ai eu beaucoup de choses à dire, à étaler. Je voulais au moins que tu le sache, puisqu'après tout, ce n'est plus le genre de choses que je puisse dire; Ni sur msn, ni en face à face, ou même par texto. Trop éloigné, trop direct, trop court.. Alors içi, qui je pense être de loin, le meilleur endroit pour le faire.
Pour tout ça, est ce que je perdrai aussi ta confiance? Au fond..? Dois je m'en soucier? Pourquoi la perdrais je? Pour être honnête et te dire ce qui me détruit et pour cela, risquer de te blesser ou de t'énerver car tu va trouver moyen de te justifier? Je n'en doute pas que tu le pourrai, bien au contraire, à chaque fois tu a une bonne excuse ou de dire aussi que c'est toujours toi le méchant. Ca n'a jamais été le cas, c'est toi qui t'en donne les airs. Mais, pour moi, en agissant comme tu le fais depuis, ou comme hier soir, de nous voir que lorsque tu veux faire bonne impression à quelqu'un ou plus que ça, tu te rend pas compte que tu blesse. Et, je n'ai jamais dis ça en 5 ans parce que, au fond, c'est comme tu es, et peut être comme je peux être aussi. Mais jamais, je ne t'ai mis de coté comme ça, ou du moins, te faire croire que tu ne me connaissais plus, que tu pensais ignorer qui parlait ou agissait de la sorte, si c'est la même personne à qui tu souhaite parler tous les soirs. Et nous, dans tout ça?
Je refuse de croire que tu t'en rende compte, et tu te dis bon voyant. Qui est le plus aveugle?
Je vois quand tu mens et pourquoi. Tu ne tiens même pas à savoir à quoi je peux pensé lorsque je vais mal, et à essayer d'être là comme au collège ou du moins, autrefois.
Et je dois me dire que c'est car le temps a changé et toi aussi? Que tu puisse bien parler à une personne car tu commence à la cotôyer puis, quand tu connais bien cette personne tu lui parle mal? Oui, la lassitude naka, la lassitude sans doute. Je m'en fiche tout de même, car je t'ai toujours donné la même importance, même en sortant avec quelqu'un. Au fond, tu sais que je ne mens pas puisque j'aurai tout fait pour te contacter à cette période là, même à me faire casser un téléphone pour te parler.
Au fond, que ferais tu?
Qu'aurais tu fais si hier, je t'aurai encore ignoré? Rien. "Bouder" en me disant que je ne t'aime pas? Ca aussi c'est blessant, car je t'aime plus, pourquoi? Je me soucis, de toi ou de kevin, je me soucis tout de même. Et c'est blessant de le dire. C'est même humiliant.
Dire que je le fais pas, et me faire dire le contraire est vraiment blessant. Car toi, encore une fois, tu ne le ferais pas.
A ce point là du texte, je répète les mots en même temps que je les penses et les écris, en regardant l'heure. Je ne veux pas que tu manque ce texte, je ne veux pas non plus l'arrêter. J'ai sans doute beaucoup à dire, mais je m'arrêterai là. Il vaut mieux ne pas répété ce que j'ai déjà dis.
Tu pourra répondre, ou ne pas répondre. Je ne regarderai pas ton blog pendant un moment, je ne veux pas pas te voir non plus, même si j'y arrive pas, je me forcerai. Je ne veux pas avoir mal pour rien encore. Pour rien? Non, mais j'essaye de le penser. Pourquoi? Parce que j'espère qu'en disant ça, je le penserai toutefois plus. En vain, mais qui ne tente rien n'a rien? Et pour cette même raison que j'écris ce texte.
Et je t'explique comment je pense et le pourquoi car, je ne suis pas méchante. Je ne l'ai jamais été, ni avec toi, ni avec Kevin. Je ne joue pas, je ne veux plus jouer. Et je n'aimerais pas que vous jouiez avec moi. Et je ne veux pas détruire ce qu'il a pu être de nous trois, puisque ça a été. Et je ne sais pas ce qui va advenir au fond.. J'en ai deux idées, totalement opposés, mais .. Je veux prendre, une semaine de repos je crois, ou je pourrais essayer de me détruire encore.
Alors, je suis peut être blessée pour rien, mais au fond, je demeure toujours la même qu'avant, juste, je ne le dis plus. Mais, j'ai toujours été comme ça. Et puis, pourquoi parler de moi?
Je te laisse, pour cette semaine.. J'en suis désolée. Je ne sais pas même comment je peux marqué, si ça peut être trop ressentis et lyrique ou pas du tout, mais je suis vraiment désolée de ce que je fais, je n'ai pas de choix autre que celui ci.
Pour tout ce que j'ai pu dire, tu choisira de me reparler, ou de ne plus le vouloir. Je prend le risque, même à ce que je puisse dire soit déplacé ou fausses ou inventés ou encore blessante. Comprend que, j'ai mal, depuis longtemps, et ce, presque chaque jours depuis un temps interminablement long. Je n'arrive pas même à voir lorsque ça a commencer cette douleur, après tout, je ne sais pas tout.
Tu a le choix. Je comprendrai that you'd bug out on me, je suis pas la personne la plus gentille que l'on puisse attendre pour parler ou se confier à long terme.
Profite bien.